Ambiance sur la petite ile d'Erdurelle ...

Les habitants de Santrio sont en proie actuellement a une petite guerre psychologique ... tout le monde "semble" avoir vu ou ne pas avoir vu l'étrange affrontement qui semble avoir eu lieux entre les pirates et les hommes de Theldorn ...

Beaucoup de monde discute et change de version dernièrement ...

Une fois les rumeurs arrivés jusqu’à Malicia, elle répondra que Theldorn perd la tête…

La déprime la fait rentrer dans l’alcool, ce n’est un fait pour personne vu ses exploits et ses dires à la taverne, tout le monde à peut voir son propre accès de rage contre lui même… La morts de ses hommes est regrettable et tombé au mauvais moment mais cela n’est pas une raison pour accuser les pirates de n’importe quoi sous prétexte qu’il à eu un différent avec un capitaine.

De plus elle rappelle que c’est bizarre d’accuser de tuer des enfants pour ce vengé de lui plutôt que de s’attaquer à sa bijouterie directement. Rien ne tient vraiment debout dans son histoire sauf qu’il est brisé par le chagrin et la peur.

Les Pirates veulent protéger l’ile et éviter que ce reproduise ce qui est arrivé sur le continent.

Les témoins de la vantardise de Malicia, ainsi que les enfants qu'elle a publiquement menacés, sont invités à se mettre à l'abri dans la bijouterie.

"Dire que les plus puissants capitaines ont sacrifié leurs hommes en les faisant exécuter pour de simples tentatives de viol, à se demander qui fait la loi chez les pirates".

Malicia est plutôt amusée part cette déclaration, rappelant que les dires, qui ne tiennent pas la route, ont était proféré par un homme s’étant infliger lui-même une blessure assez grave… A la tête !

« Qui sait qu’elle hallucinations il a pu avoir, reprit part des gens anti-pirates pour donner plus de poids à ses allégations poussant à la violence ? C’est juste par respect pour sa douleurs et parce que je pense qu’il n’a plus toute ses capacités mental que je ne réponds pas aux provocations ! »

Deux têtes bouillies sont mystérieusement apparues sur une pique près de l'embarcadère. D'après les gardes présents, c'est sans doute encore un phénomène inexpliqué, comme les pluies de poissons. Personne ne les a encore délogés de là, tout le monde attendant que les cagoinsandriers s'en chargent. Un seul problème: y'en a pas sur l'île.

Une tache de sang orne désormais le tapis blanc à l'entrée de la boutique d'Anwen, un avertissement ?

Elle remplace Gennika au comptoir pendant le deuil de cette dernière, fredonnant souvent un air incongru...

"98 outres de rhum sur le mur
98 outres de rhum !
Si une de ces outres
Venait à tomber,
97 outres de rhum sur le mur..."

Il aura fallu toute une journée à Sarley pour nettoyer le tapis blanc!

Mais elle continue de faire correctement son travail, apprenant de nouveaux mots grossiers par Theldorn.

Pour le consoler, une étagère a été commandée pour le mur à droite de l'entrée de la joaillerie, "de la largeur d'une tête, pour pouvoir exposer une collection de ces amusants trophées pygmées si pittoresques".
Sarley se voit interdire de retirer les éventuelles futures taches de sang, "en répulsif à brigands".

Sur le comptoir, des piles de pièces sont comptées, et disparaissent, la seule protection de la boutique et des liquidités semblant être la jeune sorcière blonde lorsque Theldorn s'absente, très souvent.

Quant aux pirates qui oseraient encore venir en clients, ils seront longuement dévisagés à leur entrée, et constateront que la nourriture et le rhum ne sont plus les denrées les plus rares de l'île, les armes enchantées "étant réservées aux partenaires commerciaux privilégiés au vu des problèmes d'approvisionnement actuels", ainsi que les bijoux enchantés. Quant au prix du tout venant, il a apparemment doublé du jour au lendemain. Ceux qui sauraient lire verront que les anciens prix sont cependant toujours affichés. "Ha, ça ? Pas eu le temps, je m'y mettrai bientôt".

Le stock semble drastiquement réduit, "à cause des vols", les habitants du port devant même parfois commander de simples anneaux quelques heures à l'avance, le temps de les confectionner. Eux ne semblent cependant pas se plaindre des prix plus que d'ordinaire, juste de l'attente.

Et si, la nuit, les lumières restent éteintes, les volets de l'étage sont ouverts à la fermeture de la boutique, et la maison ne semble plus jamais dormir...

"98 outres de rhum sur le mur..."

Après avoir ramené les enfants enlevés chez elle pour s'assurer qu'ils allaient bien (et les bourrer d'un des gâteaux confectionnés par Sarley), le temps de réunir les familles, Anwen s'est remise à ses ateliers, alignant rapidement de quoi remplacer l'équipement volé.

Elle attendrait un dédommagement pour son préjudice, tout en surveillant la pose de son étagère... Et en gardant un oeil attentif sur Theldorn, dont les mauvaises langues demandent à voix basse (quand il n'est pas à portée) à quel genre de baguette elle peut bien le faire marcher si droit.

En effet, les primes auraient été annulées, et même, un «préjudice moral» des pirates pour la perte de plusieurs de leurs camarades soustrait du colossal dédommagement accordé par le conseil. Quant à Theldorn lui-même, il aurait accepté de n'avoir aucun rapport avec Malicia pendant un an, pour apaiser les esprits.

A présent, on parie sur le fait que le remboursement se fera ou non dans les temps...

Anwen irait d'ailleurs toujours souvent guetter sur la falaise, radine ?

Il paraîtrai que les pirates auraient promis de punir très sévèrement quiconque s'opposerai publiquement a eux.

Anwen, pour sa part, a repris le travail normalement dès le reçu signé par Léonard de Stan.

Elle passe cependant de longues heures à surveiller la boutique, travaillant toujours sur les notes prises dans un de ses carnets noirs, quand elle ne va pas observer personnellement les entraînements.
Les enfants des réfugiés sont très souvent rassemblés dans la maison sous la surveillance de Madame Renier, la jeune Durias étant envoyée proposer son aide quelques jours par semaine dans les fermes alentours, afin de s'habituer au travail dans les champs et jardins sous le climat de Santrio et d'apprendre astuces et difficultés locales. Bien sûr, (demi) salaire et nourriture seront pris en charge par Anwen, s'agissant d'une aide temporaire.

Les enfants apprennent quelques rudiments d'alphabet, des chants en canon, et leurs jeux se concentrent sur le renforcement de leur petit groupe et récompenses sous forme de biscuits, doublée pour les plus méritants.
Les repas se prennent en commun.
La petite communauté se prépare apparemment à l'isolement, resserrant les rangs.

Les volontaires pour un emploi à la ferme future sont invités à se présenter pour laisser leur nom et celui de leurs femmes et enfants. Un appel circule également pour des compagnons ou appentis forgerons.
Les éventuels volontaires pour la surveillance de la ferme colonisatrice sont dirigés vers Theldorn, qui passe parfois à la caserne pour recueillir lui aussi des noms.

Concernant les animaux mutilés et les restes prétendument humains, sa réponse est la même : rester à l'écart des zones de chasse pygmée, et, (un ton plus bas) de ne surtout pas approcher du territoire de la sorcière.

[HRP : la jeune fille de 15 ans aura droit à un salaire de 25 pc à mi temps (21 jours par mois) si elle arrive à trouver et apprendre un travail de ferme productif adapté à sa carrure. Si elle le souhaite elle pourra travailler à plein temps dans la ferme de Theldorn mais devra être capable de gérer seule un jardin de fruits ou légumes et des bêtes (soit 5 «plants») si elle veut conserver un salaire.]

Petite frayeur pour Gennika ce matin en étant accueillie par des ronflements tonitruants comme la boutique n'en avait plus entendu depuis plusieurs semaines...

Anwen l'a prise à part pour lui expliquer tout en tripotant la tête de chat en argent qu'elle porte autour du cou, le retour de Grut, assez dévoué pour accepter l'appel de la divinité de sa maîtresse...
Et d'ajouter d'un air grave que rien n'a pu être fait pour les autres victimes, probablement plus heureuses auprès de leurs divinités... Mais leur vie, et leur mort indigne, ne seront pas oubliées. Elle pris ensuite le temps de consoler et cajoler sa jeune employée le temps qu'elle se sente assez bien pour prendre son poste, au besoin à l'aide d'un ou deux verres de vin d'Ovekio.

Quant à Grut, manifestement à bout de force, il se repose, et se fait même apporter dans sa chambre ses repas de viande crue.
Anwen continue à veiller sur tout son petit monde, veillant à leur moral et à leur sécurité, étudiant souvent dans son bureau et ne quittant la boutique que pour se rendre chez le tailleur, là aussi pour travailler.

Elle laisse à Theldorn le soin de reprendre les entraînements et les explorations avec ses soldats.

On aurait vu, un homme avec un manteau noir et qui s'appuyait sur un bâton, rentrer dans le magasin de magie de Santrio.

Apparemment, il avait le nez complétement pulvérisé.

Sarley rempli toujours bien ses fonctions chez Theldorn et Anwen

Les petits plats qu'elle cuisine pour le personnel, sont soignés et équilibrés. Il y a toujours une petite touche d'une attention particulière pour le bien de chacun pendant les repas.

Elle va de çi et de là de l'île, continuant de vendre ses cuisinés, ses jus, de s'intéresser aux travaux des fermiers déjà implantés. Elle travaille toujours à répondre aux demande diverses en tannerie à ceux qui lui en commande, à un prix très abordable.
Elle reste ouverte aux discution, attentive aux révélations.

Elle attend Anais près de l'auberge et la confirmation du rendez vous demandé avec Zoan.

La rumeur vraie ou fausse, parle d'un éventuel départ à la découverte d'autres iles.

Mais qui sait vraiment ce qu'elle a en tête ?
De plus en plus solitaire, elle ne se défait pas pour autant de son sourire aux milles mystères.

Anwen ou Theldorn, bien que ne mangeant plus que de la nourriture cuisinée par Gennika, sont toujours présents, ou au minimum l'un des deux, lors des repas communs de leurs gens.

Anwen tient régulièrement chacun au courant des nouvelles en provenance du chantier, très enthousiaste.

Et bien sûr, elle continue à s'occuper des petits bobos des désormais 15 soldats en formation.

Sarley loue une petite chambre, chez une famille de paysans, après avoir annoncé qu'elle avait démissionné de chez Anwen et Theldorn.

Quand on lui demande pourquoi elle a fait cela, elle se contente de sourire et répondre:
Le temps vous donnera la réponse.

Theldorn et Anwen ont débarqué, accompagnés d'une dizaine de personnes de tous âges, dont César, leur intérmédiaire sur le continent, trois enfants, deux vieillards, et deux marins dont un capitaine nain, tout ce petit monde vêtu de loques raidies par le sable et le sel. Ils ont été logés provisoirement à l'auberge dans des chambres communes, nourris, et pourvus de tenues simples mais solides. Les consignes sont strictes, interdiction de leur servir de l'alcool sur la note d'Anwen, ils devront payer de leur poche.

D'après les rumeurs nées de leur récit imagé bien que décousu, ils auraient fui les émeutes de Maladys sur un navire qui se serait brisés sur les récifs redoutés de la série d'ilôts surnommé "Les Dents du Vampire", avant d'y être retrouvés et secourus bien plus tard par les deux bijoutiers et le navire qui les transportait.
Plus inquiétant, ils parlent d'hommes-poisson attaquant sous couvert de la brume, et ayant entraîné sous les eaux les autres rescapés. Les deux marins, après un ou deux verres de rhum, affirmeraient même que Theldorn et Anwen seraient venus en personne les chercher dans l'antre même des créatures !
A moins qu'ayant été enlevés eux aussi, ils ne se soient simplement évadés tous ensemble ?
Comme tout bon récit de marin, celui-ci change en fonction du nombre de verres offerts au conteur, puis au fil des rumeurs...

Voilà qui ne va pas améliorer la réputation des Dents du Vampire, déjà peu fameuse au vu du nombre de navires d'étant brisée sur les récifs.

Les 4 soldats de la première heure de Theldorn se sont présentés à la boutique peu après, revenus en hâte des travaux pour prendre leurs ordres... et recevoir une prime pour leur bon travail.

Apparemment, les joaillers ne comptent que prendre le temps de payer et visiter les travaux, et de discuter individuellement avec chaque naufragé, avant de repartir pour Ovekio, espérant y trouver des paysans en quête d'un travail pour pouvoir lancer leurs cultures... sans croiser de monstres marins en route, cette fois !